C’est lors du week-end de 4 jours de la Foire de Koumac que Jean-Phi
,le licencié du Nord, a choisi de proposer une série de randonnées aux membres
de l’association et sympathisants. Par un temps radieux, rendez-vous dans ma
grande maison au sommet du village !
Après un moment de flottement jeudi matin - chargement de minéralier oblige - un décrassage d’arrivée a pour but de nous faire découvrir le village de Koumac, grâce à une petite boucle de 15 km.
Après un moment de flottement jeudi matin - chargement de minéralier oblige - un décrassage d’arrivée a pour but de nous faire découvrir le village de Koumac, grâce à une petite boucle de 15 km.
Manque de pot, crevaison sur crevaison… La vitesse moyenne du petit train des vététistes peut être, dans un premier temps, assimilée à celle d’un escargot au galop… OK, réglé… on repart !
Passage obligé par le « Point de Vue », le groupe prend
le temps d’admirer à 360° le village et ses environs ! La Carrière Frouin,
et sa piste piégeuse se terminant par une épingle à cheveux (oups…) ;
traversée de la tribu de Ouanac, résidence du Grand Chef Boarat ; la marina du Pandop, avec ses pêcheries et son port de plaisance. Là, nos vététistes retrouvent leur âme d’enfant, grâce à un petit talus menant au parking…
traversée de la tribu de Ouanac, résidence du Grand Chef Boarat ; la marina du Pandop, avec ses pêcheries et son port de plaisance. Là, nos vététistes retrouvent leur âme d’enfant, grâce à un petit talus menant au parking…
Après un détour par le camp de foire, le petit groupe reprend
la direction de la maison pour un apéro bien mérité (l’apéro est par définition
toujours mérité).
Le vendredi, une autre boucle d’une vingtaine de kilomètre, toujours
à partir de la maison, nous fait découvrir un tout autre paysage : il
s’agit de remonter la vallée des 3 Creeks, dans la propriété du Maire de
Koumac, Wilfrid Weiss.
Pour y arriver, il nous faut redescendre la carrière Frouin, passer la piste en terre du petit col de Koumac, pour rouler quelques kilomètres sur le coaltar en direction de Ouégoa… Au passage, arrêt aux Roches de Notre Dame, haut lieu de l’escalade dans la région. Une fois rentrés sur la propriété, une piste vallonnée suit la rivière et nous conduit au pré où broutent les chevaux. Petit arrêt pour caresser ces animaux si charmants et photogéniques !
Après avoir salué le gardien des 3 Creeks, le chemin nous mène à un point de vue sur une petite vallée.
Petite surprise au sortir d’un virage : des autruches ? mais oui, nous sommes bien en Nouvelle-Calédonie et on y mange de temps en temps de la viande de ce grand oiseau… Ahhhh… Il faut la mériter, car la cote est courte mais sévère ! Mais la belle vue est au bout. Ce petit écart en aller-retour nous fait rajouter près de 10 km à la boucle, mais qu’importe, c’est le choix de la majorité.
Ceci dit, la pose du déjeuner est très appréciée une fois revenus à la station…
Mais le plus beau du parcours restait à venir : la montée du plateau à l’ombre des essences diverses de la forêt sèche, au travers des écueils des calcaires rocheux qui font le paysage de la région. Les nombreux stops obligés du fait des pentes et des difficultés sont mis à profit pour s’émerveiller !
Pour y arriver, il nous faut redescendre la carrière Frouin, passer la piste en terre du petit col de Koumac, pour rouler quelques kilomètres sur le coaltar en direction de Ouégoa… Au passage, arrêt aux Roches de Notre Dame, haut lieu de l’escalade dans la région. Une fois rentrés sur la propriété, une piste vallonnée suit la rivière et nous conduit au pré où broutent les chevaux. Petit arrêt pour caresser ces animaux si charmants et photogéniques !
Après avoir salué le gardien des 3 Creeks, le chemin nous mène à un point de vue sur une petite vallée.
Outback Marcel |
Petite surprise au sortir d’un virage : des autruches ? mais oui, nous sommes bien en Nouvelle-Calédonie et on y mange de temps en temps de la viande de ce grand oiseau… Ahhhh… Il faut la mériter, car la cote est courte mais sévère ! Mais la belle vue est au bout. Ce petit écart en aller-retour nous fait rajouter près de 10 km à la boucle, mais qu’importe, c’est le choix de la majorité.
Ceci dit, la pose du déjeuner est très appréciée une fois revenus à la station…
Mais le plus beau du parcours restait à venir : la montée du plateau à l’ombre des essences diverses de la forêt sèche, au travers des écueils des calcaires rocheux qui font le paysage de la région. Les nombreux stops obligés du fait des pentes et des difficultés sont mis à profit pour s’émerveiller !
Rebelote, la soirée est mise à profit pour préparer notre apéro
et échanger sans fin autour des petites salades, charcuterie, cakes salés et
sucrés, et délicieux barbecue. Quelques bouteilles aussi, car on le sait bien,
parler ça donne soif.
La douce nuit supplémentaire passée, la maison se réveille avec 4 nouvelles jeunes têtes arrivées tard la veille au soir !
Le programme de samedi emmène un groupe d’une dizaine de vététistes en voiture pour la région de la Néoué.
En effet, Maurice Lethezer nous ouvre gentiment les portes de sa propriété pour nous permettre de réaliser une boucle de 21 km au fond de sa petite propriété de 3000 hectares… Mais une fois avalés les 6 km de route presque plate, puis les premiers lacets de piste, le petit groupe se retrouve réduit car 2 de nos amis renoncent sur problème technique (Ann a malheureusement cassé sa chaîne).
Les paysages magnifiques se succèdent, à l’ombre de grands arbres, de crêtes en crêtes dans un premier temps, puis le long de la rivière Néoué ensuite.
La douce nuit supplémentaire passée, la maison se réveille avec 4 nouvelles jeunes têtes arrivées tard la veille au soir !
Le programme de samedi emmène un groupe d’une dizaine de vététistes en voiture pour la région de la Néoué.
En effet, Maurice Lethezer nous ouvre gentiment les portes de sa propriété pour nous permettre de réaliser une boucle de 21 km au fond de sa petite propriété de 3000 hectares… Mais une fois avalés les 6 km de route presque plate, puis les premiers lacets de piste, le petit groupe se retrouve réduit car 2 de nos amis renoncent sur problème technique (Ann a malheureusement cassé sa chaîne).
Les paysages magnifiques se succèdent, à l’ombre de grands arbres, de crêtes en crêtes dans un premier temps, puis le long de la rivière Néoué ensuite.
La piste d’abord bien marquée se perd alors dans la rivière…
Les pieds dans l’eau, on pousse souvent le vélo, car le sable ou les cailloux rendent souvent l’exercice difficile.
Au final, les participants arrivent épuisés aux voitures, après 5 heures de randonnée !
Koumac, c’est aussi la région des grottes.
Il ne faut pas rater l’occasion pour parcourir quelques centaines de mètres de galeries obscures, à se faire peur à la lumière de lampes frontales !
Voilà, Koumac, c’est fini. On reviendra, s’est sûr,
mais… avec plus d’entraînement !Il ne faut pas rater l’occasion pour parcourir quelques centaines de mètres de galeries obscures, à se faire peur à la lumière de lampes frontales !
Envoyé Spécial Permanent : Jean Phi B
Alias Amphi B